Pendant des siècles, la morue fut des plus abondantes sur la côte atlantique canadienne. Le large poisson se plaît dans l’eau salée et se distingue par sa forme allongée, ses écailles aux reflets gris, vert, rouge ou brun, et son petit barbillon. Sa chair tendre et sa saveur délicate font de la morue une ressource très prisée des pêcheurs, même si elle compte, aujourd’hui, parmi les espèces en voie d’extinction.
Une vieille histoire d’amour...
Les peuples basques et bretons pêchaient la morue sur les côtes occidentales de l’Atlantique avant même la découverte du continent nord-américain. Elle constituait alors l’essentiel de l’alimentation des marins et des explorateurs. Séchée ou salée sur place, elle nourrissait l’équipage pour de longues périodes et lui permettait de pousser plus loin son voyage en mer.
Le déclin des populations
Les populations de morue, littéralement décimées par la pêche abusive, ont aujourd’hui peine à se reconstituer. Malgré tous les moratoires et les quotas imposés par le gouvernement canadien, le nombre de spécimens reste en baisse. Malheureusement, la popularité du poisson pousse encore nombre de braconniers à transgresser les règles et à user de stratégies pour accaparer la précieuse ressource.
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